PROFIL
Estelle LOUISET
ÉQUIPE : Physiopathologie Surrénalienne et Gonadique
E-MAIL : estelle.louiset@univ-rouen.fr
STATUT : Chargé de recherche INSERM
ORCID : 0000-0002-4723-095X
Estelle Louiset a soutenu sa thèse sur le couplage entre les activités électrique et sécrétoire des cellules hypophysairesen 1989.Chargée de Recherches à l’INSERM depuis 1991, elle étudie les communicationscellulairesdans la glande surrénale humaine, ainsi que leurs altérations dans différentes pathologies. Elle a identifié desmécanismesresponsables de l’hypersécrétion des hormones stéroïdiennes, aldostérone et cortisol, dans des tumeurs et hyperplasies surrénaliennes, en révélant l’expression anormale de récepteurs membranaires couplés à une protéine G (GPCR) et de leur ligand (hormones et neuropeptides).
Elle se consacre désormais à l’analyse desanomalies de différenciation des cellules surrénaliennes qui adoptent un phénotype proche de celui des cellules stéroïdogènes gonadiqueschez les patients porteurs de mutations du gène ARMC5 et atteints d’une hyperplasie bilatérale des surrénales. Ces mutations pourraient induire une anomalie de développement du précurseur embryonnaire commun aux cellules stéroïdogènes surrénaliennes et testiculaires ou ovariennes.
Estelle Louiset a reçu le Prix de Recherche de la Société Française d’Endocrinologie en 2009 et 2015. Ses travaux sont menés dans l’équipe « Physiopathologie Surrénalienne et Gonadique » en étroite collaboration avec le Service d’Endocrinologie et Maladie Métaboliques du CHU de Rouen, les centres de référence nationale des pathologies surrénaliennes des hôpitaux Cochin et Georges-Pompidou (Paris),et le réseau national COMETE pour la collection et l’étude des tumeurs surrénaliennes.Ils bénéficient de financements de l’Agence Nationale de la Recherche, de la Région Normandie-FEDER.
Estelle Louiset a reçu le Prix de Recherche de la Société Française d’Endocrinologie en 2009 et 2015. Ses travaux sont menés dans l’équipe « Physiopathologie Surrénalienne et Gonadique » en étroite collaboration avec le Service d’Endocrinologie et Maladie Métaboliques du CHU de Rouen, les centres de référence nationale des pathologies surrénaliennes des hôpitaux Cochin et Georges-Pompidou (Paris),et le réseau national COMETE pour la collection et l’étude des tumeurs surrénaliennes.Ils bénéficient de financements de l’Agence Nationale de la Recherche, de la Région Normandie-FEDER.